Dans un monde où chacun se débat pour être compris et pour comprendre les autres, une vérité simple et apaisante m’a traversé : il n’est pas nécessaire de se comprendre pour vivre en paix.
Nous croyons que la compréhension mutuelle est la condition pour aimer, collaborer, coexister. Pourtant, c’est souvent elle qui alimente nos luttes, nos frustrations, nos attentes.
Le jour où j’ai accepté de ne pas être compris… et de ne pas comprendre les autres, un poids est tombé. J’ai découvert que la paix ne naît pas dans la compréhension, mais dans l’acceptation de ce mystère qui nous sépare et nous unit tout à la fois.
C’est dans cet espace — où rien n’a besoin d’être expliqué — que j’ai enfin pu marcher vers ma singularité, et rencontrer l’autre dans la sienne.