Le capitalisme, étymologiquement, vient du latin caput : la tête.
C’est le gouvernement par le mental, par l’analytique, par la rationalité froide.
Un système qui, peu à peu, a réduit l’Être au calcul et la vie à l’avoir.
Mais une autre voie s’ouvre.
Dans l’Égypte antique, le Kâ désignait le double invisible, l’énergie de vie, le souffle vital.
Replacer le Kâ au centre, c’est redonner à l’Être sa primauté.
C’est reconnaître que la véritable richesse ne se mesure pas seulement dans l’accumulation matérielle, mais dans la capacité à vivre et agir depuis le cœur, l’intuition, la présence.
👉 Le Kâpitalisme, c’est ce passage.
Un basculement d’un monde gouverné par la tête froide vers un monde guidé par le cœur vivant.
Une métaphysique de la révélation de l’Être plutôt qu’une logique d’appropriation.
Et si l’économie de demain ne se jouait pas dans les chiffres, mais dans la vérité de ce que nous sommes ?
Et si le véritable capital, celui qui ne se perd pas, était déjà en nous ?